Assise devant l'écran,
A répéter des gestes,
A forcer le sourire,
J'ai enfilé un masque.
Je suis tel un pantin,
Poser là, sans raison,
Juste pour gagner mon pain.
Je suis à l'abandon.
A la recherche d'un plan,
Pour fuir ce lieu funeste,
Où je vais dépérir,
Fatiguée par le casque.
Je suis tel un pantin,
Poser là, sans raison,
Juste pour gagner mon pain.
Je suis à l'abandon.
J'imagine un instant,
Une belle tempête céleste,
Qui m'aide à conquérir,
Mes peurs, dans une bourrasque.
Je suis tel un pantin,
Poser là, sans raison,
Juste pour gagner mon pain.
Je suis à l'abandon.
Je peux me tendre la main,
Affronter l'ascension,
Aller vers mon destin,
Et suivre mon intuition.
mardi 16 juillet 2019
lundi 15 juillet 2019
Voyage au bout du monde
Dans le silence de la nuit,
Je songe tellement à lui.
A ces instants accrochés,
A son sourire fasciné.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Emprisonnée dans le bruit,
Dans ce wagon, je le fuis,
Le chassant de mes pensées,
Pour surmonter la journée.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Mes enjambées traînent l'ennui,
Broyant les conseils d'autrui.
J'ai l'espoir de le croiser,
Avant la fin de mes congés.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Dire que l'amour est un fruit
Qui finit au fond d'un puits.
La distance l'a périmée,
Sans que je puisse m'en douter.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Au fond de mon cœur éconduit,
Il est l'unique que j'ai séduit.
Dans le tourbillon de l'été,
C'est impossible de l'oublier,
Telle une blessure bien harnachée.
Au bout du monde, il s'est enfui.
Au bout du monde, il s'est enfui.
Je songe tellement à lui.
A ces instants accrochés,
A son sourire fasciné.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Emprisonnée dans le bruit,
Dans ce wagon, je le fuis,
Le chassant de mes pensées,
Pour surmonter la journée.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Mes enjambées traînent l'ennui,
Broyant les conseils d'autrui.
J'ai l'espoir de le croiser,
Avant la fin de mes congés.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Dire que l'amour est un fruit
Qui finit au fond d'un puits.
La distance l'a périmée,
Sans que je puisse m'en douter.
Dans le tourbillon de l'été,
Au bout du monde, il s'est enfui.
Au fond de mon cœur éconduit,
Il est l'unique que j'ai séduit.
Dans le tourbillon de l'été,
C'est impossible de l'oublier,
Telle une blessure bien harnachée.
Au bout du monde, il s'est enfui.
Au bout du monde, il s'est enfui.
dimanche 14 juillet 2019
Puits sans fond
Cette flamme dans tes yeux,
Jamais je ne l'ai vue,
Ailleurs que dans la nuit,
De tes yeux sombres.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Cette obscurité qui tant de fois,
Te fait sombrer.
C'est si dur de te tenir,
A bout de bras.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Comment trouver,
Le chemin de l'amour,
Quand cette flamme vacille,
Brouillant mes yeux de larmes.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Seuls tes bras sont réconfortants.
Seuls tes baisers sont doux.
Seule ta voix m'irradie.
Seule ton intonation parle à mon cœur.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Jamais je ne l'ai vue,
Ailleurs que dans la nuit,
De tes yeux sombres.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Cette obscurité qui tant de fois,
Te fait sombrer.
C'est si dur de te tenir,
A bout de bras.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Comment trouver,
Le chemin de l'amour,
Quand cette flamme vacille,
Brouillant mes yeux de larmes.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
Seuls tes bras sont réconfortants.
Seuls tes baisers sont doux.
Seule ta voix m'irradie.
Seule ton intonation parle à mon cœur.
Je pleure tant je t'aime.
Je pleure quand tu dérailles.
Je pleure devant le chemin sinueux.
Fuis ce puits sans fond.
lundi 8 juillet 2019
Lui
Le temps s'étire,
Ton silence pèse.
D'un flux incessant
Au néant.
Il reste le souvenir,
De ta douceur,
De ta force qui me soulève,
De ton regard dans le mien,
De ta gentillesse.
De ton rire.
Ton silence pèse.
D'un flux incessant
Au néant.
Il reste le souvenir,
De ta douceur,
De ta force qui me soulève,
De ton regard dans le mien,
De ta gentillesse.
De ton rire.
L'artiste
Telles des fourmis attirées par le sucre.
Comme dans un ralenti,
Les espaces se comblent,
D'êtres impatients,
Jusqu'à former une masse,
Dont l'euphorie monte.
Un poète comblé
Fait son entrée,
Devant une assemblée émerveillée.
Il est là et emporte,
Par le son du piano,
La foule amassée,
Avant d'éblouir par son imagination,
La scène de lumières
Et de musiciens improbables.
Laissant place à la magie,
Monté sur son bateau,
Il fend les vagues,
Et les étoiles,
Pour apporter à chacun sa poésie.
Que de couleurs sur ses épaules,
Pour parcourir son univers.
Les instruments défilent,
Sous sa coiffe dorée.
Il impose par sa prestance.
Il installe le respect,
Et bouscule l'envie,
D'écrire une lettre
A double sens,
Pour partager à l'infini l'amour
D'une salle à son artiste.
Comme dans un ralenti,
Les espaces se comblent,
D'êtres impatients,
Jusqu'à former une masse,
Dont l'euphorie monte.
Un poète comblé
Fait son entrée,
Devant une assemblée émerveillée.
Il est là et emporte,
Par le son du piano,
La foule amassée,
Avant d'éblouir par son imagination,
La scène de lumières
Et de musiciens improbables.
Laissant place à la magie,
Monté sur son bateau,
Il fend les vagues,
Et les étoiles,
Pour apporter à chacun sa poésie.
Que de couleurs sur ses épaules,
Pour parcourir son univers.
Les instruments défilent,
Sous sa coiffe dorée.
Il impose par sa prestance.
Il installe le respect,
Et bouscule l'envie,
D'écrire une lettre
A double sens,
Pour partager à l'infini l'amour
D'une salle à son artiste.
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