En acceptant ce déjeuner,
Tu as déjà posé le pied
En direction de ton feeling.
Et en décalant ton planning,
Tu as un peu plus renforcé
Le lien naissant qui s'est tissé.
Tu as commencé à teinter
De pourpre mes jours sans gaieté,
Jusqu'à m'en faire perdre l'équilibre.
Près de moi je sens que tu vibres,
Que s'envole toute ambiguïté,
Tant nos corps sont comme aimantés.
Deux choix s'imposent en aparté,
Bousculant ta conformité,
Rester dans un engourdissement,
Ou accepter le dérangement,
Développer notre affinité,
Et vivre dans la félicité.
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